Il fait beau et chaud dans les programmations de nos salles préférées ! C’est au New Morning ce 13 juin 2019 qu’Aldorande, le projet onirique, mysterieux, énigmatique mais familier de Virgile Raffaëlli célèbre sa sortie officielle.
Une soirée estampillée
Favorite Recordings qui promet son lot de
groove à la française, dans la continuité de ce que l’hexagone a fait de mieux en la matière.
Des places sont à gagner sur
Le Gros Tas de Zik, pour tenter sa chance rien de plus simple, envoyez un petit mail à
alpha@legrostasdezik.com les gagnants seront tirés au sort puis contactés. Bonne chance à toutes et à tous !
Décidés à vivre une aventure parallèle à celle qu’ils menaient au sein d’unités communes, quatre de nos hommes se sont embarqués dans un astronef, avec pour ambition de mener en quartet cette expédition astrale.
Comme prévu, la mission s’est dès le départ parfaitement déroulée. Arrachés à l’attraction terrestre dès les premières mesures, la terre leur est très vite apparue minuscule et lointaine, avant de totalement disparaître pour laisser comètes et novas baliser l’éclairage de leur route dans l’espace insondable.
Leurs études préliminaires et poussées sur les travaux jazz-funk des 70’s auront été pour eux une grande inspiration, très tôt ils ont su que cette esthétique sonique leur permettrait de voyager encore plus loin. Navigation exclusive aux instruments organiques. Sans renforts numériques ni additions digitales.
Les lignes de basse du Commandant
Virgile Raffaëlli, ce sont elles qui ont guidé leur périple. Calmes mais néanmoins dynamiques pour tracer leur chemin lors des phases sans heurts, c’est commutées sur la position puissance qu’elles leur ont permis de traverser sains et saufs les zones de turbulence et les pluies d’astéroïdes.
Véritables boussoles, elles ont indiqué les directions à suivre, dessiné un groove sur lequel ses fidèles et précieux équipiers se sont rivés. La batterie de Mathieu Edouard cadenassant la rythmique à double tour pour empêcher les à-coups dans le beat, mission menée en étroite collaboration avec les percussions à réactions d’Erwan Loeffel. Affairé à ses claviers, distillant harmonies et riffs de synthés et de pianos électriques, Florian Pellissier a su graisser la mécanique ou alléger l’ambiance lorsque s’élever d’encore quelques pieds semblait nécessaire.
La cohésion quasi télépathique de leur équipage aura été l’une des clés de cette réussite, cette capacité à laisser parler les émotions intérieures à partir de seulement quelques notes.
Ci-dessous, le dernière transmission que nous avons reçue :
Désormais posés sur le sol d’une planète que nous ne connaissons pas, c’est avec le renfort ponctuel de cuivres subtils et de chœurs étherés que nous décompressons l’ouverture qui va nous révéler ce paysage inédit.
Il est à la mesure de nos attentes !… Désertique et pourtant annonciateur d’une vie prête à renaître… Chaud sans être étouffant, l’air y est parfaitement respirable… Le psychédélisme flotte dans l’atmosphère, comme une présence diffuse prompte à jaillir de la première fleur qui y poussera…
Onirique, mystérieuse, énigmatique et pourtant si familière, nous l’appellerons ALDORANDE.
Written by LGTDZ
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